Air intérieur
Nous passons plus de la moitié de notre temps dans des espaces clos. La transmission d’un virus est amplifiée dans les espaces intérieurs et mal ventilés. L’air intérieur est 5 à 9 fois plus pollué que l’air extérieur ce qui peut entraîner un impact sanitaire important.
La transmission du virus se fait principalement par voie aérienne, à l’intérieur via des aérosols, de petites particules qui peuvent être chargées de virus, émises par chacun d’entre nous lorsque l’on respire, parle, chante, tousse…
Ces particules légères restent en suspension dans l’air et peuvent être inhalées. Si la personne en question est infectée par le virus, ces gouttelettes contiendront également des particules virales.
Surveiller la concentration du CO2 dans l’air permet d’estimer la proportion d’air expiré dans un espace, et donc de calibrer l’aération, pour limiter le risque.
Comment ça fonctionne ?
Leur fonctionnement est assez simple : sous la forme d’un petit boitier, le capteur mesure le taux de dioxyde de carbone, ou CO2, présent dans une pièce. Il signale lorsque ce taux de ppm est supérieur au seuil fixé par le Haut Conseil de la Santé publique (HCSP) et incite à une aération impérative et immédiate
1.000 ppm de CO2 : la valeur limite pour une bonne qualité de l’air intérieur
Maîtriser sa qualité de l’air intérieur (QAI)
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Limiter les risques de maladie
Les impacts sanitaires de la pollution de l’air intérieur sont nombreux, de nature et de gravité variables : maux de tête, fatigue, malaise, difficulté de concentration, avec un impact sur l’absentéisme et la productivité.
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Une ouverture sereine des ERP
Le virus SARS-CoV2 peut rester en suspension dans l’air à l’intérieur des locaux sous forme d’aérosols (transmission aérienne), en particulier dans les espaces clos mal ventilés. L’aération et la ventilation sont donc indispensables.
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Le gouvernement le préconise
Les lois Grenelle ont posé le principe d’une surveillance accrue de la qualité de l’air intérieur dans certains ERP.
Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) préconise de mesurer le taux de CO2 à l’aide d’une stratégie de maîtrise de la qualité de l’air.
Le ministère de l’éducation national dans son protocole sanitaire préconise l’utilisation de capteurs de CO2 dans les classes pour limiter les risques de transmission.
L’État a débloqué 20 millions d’euros pour les collectivités qui n’auraient pas les moyens de s’équiper.
La stat
Nous nous occupons de tout !
Zéro Wattheure vous accompagne sereinement dans la mise en place du contrôle de la QAI de vos bâtiments. Non-intrusifs, les moyens mis en œuvre sont à la fois simples et rapides. Chaque responsable d’établissement peut prendre en main ce service en quelques minutes et s’assurer du respect des procédures sanitaires à appliquer dans la journée.
Mise en place d'une sonde de QAI
Notre équipe s’occupe de la mise en place et de l’entretien des sondes dans les espaces
Surveillance en continu de la QAI
Nous surveillons régulièrement les mesures des sondes et vous envoyons un rapport selon la périodicité de votre choix.
Alertes en cas de dérives
Vous recevez une alerte dès le dépassement d’un seuil préalablement établi sur notre canal de messagerie privée et sécurisée Slack
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